Maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson est l’une des affections les plus fréquentes du système nerveux. Sa fréquence varie selon les pays et les régions et se situe entre 18 et 194 patients pour 100 000 habitants. Les hommes et les femmes sont touchés à peu près autant, même si certaines études indiquent que la maladie pourrait être légèrement plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.
Définition
Qu’est-ce que la maladie de Parkinson ?
La maladie de Parkinson, appelée médicalement maladie de Parkinson (morbus Parkinson) ou maladie parkinsonienne, est une affection neurologique chronique et évolutive qui touche principalement le système nerveux central. La définition de la maladie de Parkinson décrit une affection dans laquelle il se produit une perte progressive de cellules nerveuses dans le cerveau, notamment dans la substance noire (substantia nigra). Ces cellules nerveuses sont responsables de la production du neurotransmetteur dopamine, qui joue un rôle central dans le contrôle des mouvements. Parkinson peut donc se résumer comme un trouble de la régulation du mouvement, associé à une variété de symptômes moteurs et non moteurs.

En raison du manque de dopamine, la transmission des signaux entre le cerveau et les muscles est perturbée. Il en résulte des symptômes typiques de la maladie de Parkinson tels que le ralentissement des mouvements, la rigidité musculaire et les tremblements. En plus de ces manifestations motrices classiques, de nombreux symptômes non moteurs de Parkinson peuvent également apparaître, notamment des troubles du sommeil, des troubles végétatifs ou des modifications psychiques. Cette diversité fait du syndrome parkinsonien un tableau clinique complexe, dont l’expression peut être très différente d’une personne à l’autre.
Le diagnostic de Parkinson repose sur les symptômes cliniques, des examens neurologiques et des tests complémentaires. Des procédures structurées, comme un questionnaire de diagnostic de Parkinson, peuvent être utiles pour recenser de façon systématique les premiers signes de Parkinson et leurs symptômes. L’imagerie médicale peut soutenir le diagnostic de Parkinson, mais ne remplace pas l’évaluation spécialisée.
Parkinson existe dans le monde entier. L’épidémiologie de la maladie de Parkinson indique que la maladie débute le plus souvent à un âge avancé. L’âge typique d’apparition de Parkinson est supérieur à 60 ans. Néanmoins, des personnes plus jeunes peuvent également être concernées. La maladie de Parkinson n’est pas curable, évolue le plus souvent de manière chronique et progresse lentement. L’évolution de la maladie de Parkinson peut rester stable pendant de nombreuses années ou s’aggraver par phases.
Même si la maladie de Parkinson n’est pas directement mortelle, son évolution influence fortement la qualité de vie. Avec une thérapie de Parkinson adaptée individuellement – comprenant des mesures médicamenteuses, de l’activité physique, des entraînements et des approches de soutien – il est toutefois possible d’atténuer les symptômes de Parkinson et d’organiser durablement le quotidien de manière positive.
Cause de la maladie de Parkinson
Les causes exactes de la maladie de Parkinson ne sont pas encore totalement élucidées. Les spécialistes partent du principe qu’il s’agit d’un phénomène multifactoriel, dans lequel plusieurs causes interagissent. Des facteurs génétiques ainsi que des influences environnementales et des processus liés à l’âge jouent un rôle dans l’apparition de la maladie de Parkinson. En particulier dans le syndrome parkinsonien idiopathique, la forme la plus fréquente, la cause concrète de Parkinson reste inconnue.
Environ 75 % des personnes concernées souffrent d’un syndrome parkinsonien idiopathique (SPI). « Idiopathique » signifie qu’aucune cause claire de Parkinson n’est connue. Dans le SPI, il se produit un trouble de l’agrégation des protéines : des protéines se déposent de manière pathologique dans les cellules nerveuses et entraînent leur mort prématurée. Cela conduit à une maladie parkinsonienne neurodégénérative, mais le déclencheur exact reste à ce jour inconnu.
Les 25 % restants des patients atteints de la maladie de Parkinson ont des causes connues :
- ◉ Syndrome parkinsonien familial (génétique) : il existe une prédisposition héréditaire, souvent avec un début de la maladie précoce avant l’âge de 40 ans. On parle aussi de syndrome parkinsonien juvénile lorsque la maladie apparaît déjà à un jeune âge.
- ◉ Syndrome parkinsonien secondaire (symptomatique) : des influences environnementales, des médicaments, des troubles de la circulation sanguine ou du métabolisme peuvent déclencher la maladie de Parkinson.
- ◉ Syndrome parkinsonien atypique : d’autres maladies neurodégénératives provoquent des symptômes parkinsoniens similaires en raison de dépôts protéiques pathologiques.
La perte progressive des cellules nerveuses productrices de dopamine dans le cerveau est un élément central de la maladie de Parkinson. Cette dégénérescence entraîne un déficit en dopamine, ce qui altère le contrôle des mouvements. Ce processus est déterminant dans l’apparition des symptômes typiques de la maladie de Parkinson. Les raisons pour lesquelles ces cellules nerveuses meurent font l’objet d’intenses recherches. Dans l’ensemble, les causes de la maladie de Parkinson montrent qu’il s’agit d’une interaction complexe de plusieurs facteurs. Cette interaction influence non seulement l’apparition, mais aussi l’évolution de la maladie. Une meilleure compréhension des causes de Parkinson est essentielle pour développer à l’avenir des approches ciblées de traitement de Parkinson et des thérapies efficaces.
Symptômes de la maladie de Parkinson
Les symptômes de Parkinson sont variés et peuvent différer sensiblement d’une personne à l’autre. Ils dépendent notamment de l’évolution individuelle de la maladie, de l’âge au début de l’affection, de l’état de santé général ainsi que du mode de vie. Les symptômes de Parkinson se développent généralement de manière insidieuse et augmentent lentement au fil de l’évolution de la maladie. Un diagnostic de Parkinson ne peut pas être posé sur la base d’un seul signe : il nécessite une évaluation neurologique approfondie, car de nombreux symptômes de Parkinson peuvent également apparaître dans d’autres maladies.
Typiquement, la maladie de Parkinson associe des troubles moteurs et non moteurs. Outre les troubles du mouvement bien connus, des signes cognitifs, émotionnels et végétatifs jouent aussi un rôle important. Les points suivants présentent des symptômes fréquents de la maladie de Parkinson – la liste n’est toutefois pas exhaustive, car le tableau clinique peut varier fortement selon les individus :
- ◉ Ralentissement des mouvements (bradykinésie) : l’un des symptômes principaux de la maladie parkinsonienne. Les mouvements deviennent de plus en plus difficiles, paraissent ralentis ou à petits pas.
- ◉ Rigidité musculaire (rigidité) : augmentation de la tension musculaire, souvent associée à des douleurs. Ce signe est aussi appelé syndrome hypokinétique-rigide.
- ◉ Tremblement (tremor) : tremblement fréquent des mains ou des bras au repos, un signe classique des symptômes de la maladie de Parkinson.
- ◉ Fatigue : symptôme fréquent mais souvent sous-estimé. Elle peut être décrite comme une sensation désagréable de perte d’énergie, rendant les activités quotidiennes plus difficiles.
- ◉ Troubles de la marche et de la posture : marche à petits pas, dits « pas trottinés ».
- ◉ Problèmes d’équilibre : risque accru de chutes au cours de l’évolution de la maladie.
- ◉ Premiers symptômes de Parkinson : troubles de l’odorat, fatigue, problèmes de sommeil ou constipation peuvent apparaître des années avant les troubles moteurs.
- ◉ Symptômes végétatifs en cas de Parkinson : fluctuations de la tension artérielle, transpiration accrue, troubles digestifs ou troubles du rythme cardiaque.
- ◉ Troubles de la parole et de la déglutition : voix faible et monotone, ainsi que difficultés à avaler, surtout aux stades avancés.
- ◉ Altérations cognitives : problèmes de concentration et de mémoire, ralentissement de la pensée. Une démence liée à la maladie de Parkinson peut se développer au fil du temps.
- ◉ Modifications psychiques : dépression, troubles anxieux, changements de caractère ou de personnalité peuvent survenir. Dans certains cas, un comportement agressif peut être observé.
- ◉ Troubles du sommeil : difficultés d’endormissement et de maintien du sommeil ou mouvements nocturnes inhabituels.
- ◉ Micrographie : écriture de plus en plus petite et crispée.
- ◉ Visage figé (hypomimie) : diminution de la mimique avec expression faciale figée.
- ◉ Douleurs : douleurs musculaires et articulaires ou douleurs non spécifiques sans cause claire.
- ◉ Troubles de l’odorat (hyposmie) : odorat nettement réduit ou absent, souvent l’un des symptômes précoces.
- ◉ Troubles de la fonction sexuelle : baisse de la libido ou troubles de l’érection dans le cadre de la maladie de Parkinson.
Les symptômes de la maladie de Parkinson changent souvent au cours de l’évolution et peuvent être plus marqués par phases, par exemple lors d’une aggravation par poussées. La détection précoce des premiers symptômes et un traitement ciblé peuvent contribuer à soulager les troubles et à préserver durablement la qualité de vie.
Thérapies conventionnelles – qu’est-ce qui aide en cas de maladie de Parkinson ?
Différentes approches thérapeutiques conventionnelles sont disponibles pour traiter la maladie de Parkinson. L’objectif est d’atténuer les symptômes – en particulier le ralentissement des mouvements, la rigidité musculaire, le tremor, les pas trottinés, les troubles de l’équilibre et la fatigue – et d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées. L’aperçu suivant présente des options éprouvées de thérapie de Parkinson. La liste n’est pas exhaustive : selon l’évolution, le degré de gravité et les comorbidités, différentes mesures peuvent être pertinentes. Une combinaison de plusieurs formes de thérapie est souvent recommandée. Un avis médical auprès d’un neurologue spécialisé est déterminant afin de trouver le traitement de Parkinson adapté à chaque situation.
- ◉ Thérapie médicamenteuse : médicaments spécifiques de Parkinson pour améliorer la mobilité et réduire le tremor et la rigidité.
- ◉ Physiothérapie : exercices ciblés de renforcement, d’étirement, ainsi que d’amélioration de l’équilibre et de la coordination.
- ◉ Ergothérapie : soutien dans les activités quotidiennes, entraînement de la motricité fine, adaptation des aides techniques et de l’environnement.
- ◉ Thérapie par le mouvement / sport : une activité physique régulière renforce l’endurance, la force et la mobilité, et peut influencer positivement l’évolution de Parkinson.
- ◉ Orthophonie et thérapie de la déglutition : en cas de dysarthrie ou de dysphagie, exercices ciblés pour améliorer la parole, l’articulation et la fonction de déglutition.
- ◉ Psychothérapie / thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : aide à faire face aux troubles chroniques, à la dépression ou à l’anxiété.
- ◉ Techniques de relaxation : exercices respiratoires, méditation ou relaxation musculaire progressive pour réduire le stress, qui peut aggraver les symptômes.
- ◉ Adaptation de l’alimentation : une alimentation équilibrée soutient la santé générale et peut aider à éviter l’hyperacidité.
- ◉ Éducation et autogestion : informations sur l’évolution de la maladie, prévention des poussées et techniques du quotidien pour renforcer l’autonomie.
- ◉ Aides techniques : cannes, semelles orthopédiques, déambulateurs ou assistance technique pour augmenter la sécurité et la mobilité.
- ◉ Thérapies complémentaires : yoga, tai-chi, aquathérapie ou stretching pour favoriser l’équilibre, la mobilité et le bien-être.
- ◉ Thérapies orientées symptômes : prise en charge des troubles du sommeil, des douleurs ou des symptômes végétatifs par des mesures ciblées.
- ◉ Thérapies physiques complémentaires : massages, applications de chaleur ou de froid, ainsi qu’électrothérapie pour soulager la rigidité musculaire et les douleurs.
- ◉ TENS (stimulation électrique transcutanée des nerfs) : des impulsions électriques peuvent améliorer le contrôle musculaire et réduire la douleur.
- ◉ Entraînement de l’équilibre et de la marche : exercices spécifiques pour favoriser la stabilité, réduire le risque de chute et soutenir une dynamique de marche plus fluide.
La thérapie conventionnelle de Parkinson poursuit un objectif clair : atténuer les symptômes, préserver les capacités fonctionnelles et améliorer durablement la qualité de vie.
Mode d’action kybun – qu’est-ce qui aide en cas de maladie de Parkinson ?
Les produits kybun agissent de manière ciblée là où commencent de nombreux défis liés à la maladie de Parkinson : troubles du mouvement, rigidité musculaire, tremblements, coordination réduite et augmentation de la dépense énergétique au quotidien. Grâce à la semelle élastique et à effet ressort, les chaussures kybun soulagent en douceur l’appareil locomoteur tout en stimulant le mouvement naturel et actif. Cette combinaison peut aider, en cas de symptômes de Parkinson, à relâcher les tensions musculaires, à mobiliser doucement les articulations et à favoriser la circulation sanguine. L’instabilité volontaire sur le matériau élastique-ressort active particulièrement la musculature profonde, ce qui peut contribuer à une meilleure posture et à la réduction des troubles de coordination et d’équilibre. La propriété amortissante de la semelle soutient en outre les articulations et peut aider à réduire les douleurs liées au mouvement en cas de maladie de Parkinson. Les produits kybun offrent ainsi une approche visant à soutenir activement l’évolution des symptômes de la maladie de Parkinson. Les principaux modes d’action des produits kybun en cas de Parkinson sont présentés ci-dessous.
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Promotion du mouvement et réduction des activités sédentaires
Une activité physique régulière et une réduction des comportements sédentaires sont des facteurs centraux du soutien dans le traitement de Parkinson. Des études montrent que l’activité physique peut influencer positivement des symptômes de Parkinson tels que le ralentissement des mouvements, la rigidité musculaire et les pas trottinés. Les produits kybun à propriété élastique-ressort favorisent le plaisir de bouger. La station debout et la marche dynamiques sur les matériaux kybun activent en douceur l’ensemble de l’appareil locomoteur tout en le soulageant. L’activation continue de la musculature améliore la circulation sanguine, relâche les tensions et renforce le ressenti corporel. Elle aide également à réduire le temps passé assis – un aspect important pour améliorer la qualité de vie en cas de maladie de Parkinson.
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Activation et renforcement de la musculature
Le matériau élastique-ressort des produits kybun soutient l’activation et le renforcement musculaires de manière douce – un point essentiel en cas de Parkinson, où la rigidité musculaire, l’hypokinésie et la stabilité réduite sont fréquentes. Lors de la marche et de la station debout sur un support instable, de petits mouvements compensatoires sont réalisés pour maintenir l’équilibre. La musculature profonde des pieds, des jambes, du bassin et du tronc est particulièrement entraînée – précisément les groupes musculaires importants pour la stabilité, la posture et la coordination. Cette activation douce peut relâcher les tensions, favoriser la circulation sanguine et améliorer la perception du corps.
Les petits mouvements compensatoires sur le matériau élastique-ressort entraînent également un tonus musculaire de faible intensité dans tout le corps. Grâce à cette musculature active, l’exécution des mouvements peut être plus précise, ce qui peut réduire le ralentissement des mouvements (bradykinésie) ainsi que les troubles de la marche et de la posture.
Équilibre et EMG
La capacité d’équilibre a été mesurée à l’aide d’une plate-forme de force, via le déplacement du centre de gravité d’avant en arrière (ant-post) et latéralement (med-lat) en position debout. En parallèle, une électromyographie (EMG) a enregistré l’activité musculaire.

Avec des chaussures conventionnelles
- Activité musculaire réduite
- Amplitude de déplacement du centre de gravité réduite

Avec des chaussures kybun
- Activité musculaire accrue
- Amplitude de déplacement du centre de gravité accrue
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Renforcement de l’équilibre
Un problème central en cas de maladie de Parkinson est la présence de troubles de la coordination et de l’équilibre, qui augmentent le risque de chute et peuvent limiter l’autonomie au quotidien. Les produits kybun soutiennent de manière ciblée les capacités d’équilibre grâce à la combinaison d’une semelle élastique-ressort et d’un support légèrement instable. Lors de la marche et de la station debout sur ce matériau, de nombreux petits mouvements compensatoires inconscients doivent être effectués pour maintenir l’équilibre. Cette activation continue entraîne la musculature profonde des pieds, des jambes, du bassin et du tronc – précisément les groupes musculaires importants pour une posture stable et des mouvements sûrs. En même temps, le mouvement doux sur ce support dynamique favorise la coordination entre le cerveau, les muscles et les articulations, ce qui est particulièrement bénéfique en cas d’évolution de la maladie.
Avec un entraînement régulier sur les produits kybun, l’équilibre peut être sensiblement amélioré. Cela réduit le risque de chutes, soutient une dynamique de marche plus fluide et renforce la confiance en soi au quotidien. Même en présence de symptômes légers tels que les pas trottinés ou l’insécurité à la marche, ce travail ciblé de l’équilibre constitue un complément efficace aux mesures médicamenteuses ou thérapeutiques. -
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Retard de l’action des forces grâce à l’effet d’amortissement
Les sols durs transmettent, à chaque pas, des chocs aux genoux, aux hanches et à la colonne vertébrale. La semelle élastique-ressort des produits kybun retarde le moment où la force maximale s’exerce. La musculature dispose ainsi de plus de temps pour s’adapter à la charge et réagir activement.
Pour les personnes atteintes de Parkinson, cet effet est particulièrement avantageux : la charge retardée soutient le contrôle musculaire, améliore la stabilité à la marche et réduit le risque de mauvaises sollicitations abruptes. En parallèle, les articulations, tendons et fascias sont soulagés, ce qui permet une locomotion plus sûre, plus fluide et respectueuse des articulations – en particulier en cas de troubles de l’équilibre et de la coordination ainsi que de pas trottinés au cours de l’évolution de la maladie.

- Krafteinwirkung 1 beim Fersenauftritt in herkömmlichen Schuhen
- Krafteinwirkung 2 beim Fersenauftritt in kybun Schuhen
- Kraft in Newton
- Zeit in Sekunden
- Gehen auf flachem, hartem Boden in kybun Schuhen
- Gehen auf flachem, hartem Boden in anderen Schuhen
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Déroulé naturel du pied grâce à l’activation musculaire
En cas de maladie de Parkinson, la marche peut être perturbée par la rigidité musculaire, les pas trottinés ou des troubles de l’équilibre. La semelle kybun soutient, grâce au retard de l’action des forces et à l’activation musculaire, un déroulé naturel du pied, du talon au médio-pied puis jusqu’à l’articulation du gros orteil. La charge est ainsi répartie plus uniformément et les troubles de la coordination et de l’équilibre peuvent être réduits. L’activation contrôlée stabilise le mouvement et favorise une marche plus fluide. Les symptômes typiques, comme l’insécurité à la marche et des mouvements irréguliers, peuvent ainsi diminuer.

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Répartition optimisée de la pression
Les produits kybun enveloppent la plante du pied de manière homogène et améliorent la répartition de la pression lors de la marche et de la station debout. Cela soulage les muscles, tendons, articulations et fascias, et soutient la posture. Cela peut aider, en cas de maladie de Parkinson, à atténuer des symptômes tels que la fatigue musculaire ou l’hypokinésie et à rendre l’expérience du mouvement plus agréable. En outre, la surface d’appui est agrandie grâce à une zone de charge élargie. Or, comme l’insécurité à la marche est un symptôme fréquent en cas de Parkinson, cela peut apporter plus de stabilité et de sécurité en position debout et lors de la marche.
avec kybun
sans kybun
- Zones bleues/vertes: Faible charge de pression. La plante des pieds est protégée et soumise à moins de pression.
- Zones jaunes: Charge de pression moyenne. Pour éviter les callosités et les points de pression, veillez à soulager la pression.
- Zones rouges: Pression excessive. Conduit inévitablement à des réactions de tension chroniques sur de longues périodes.
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Soin et protection des fascias
Les fascias jouent également un rôle important en cas de maladie de Parkinson pour la mobilité, la transmission des forces et la stabilité. Les semelles kybun élastiques-ressort assurent une charge douce et uniforme, préservent la fonction des fascias et soutiennent la stabilité lors de la marche. Cela réduit les tensions, améliore la perception corporelle et contribue à une démarche plus fluide et plus sûre.
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Amélioration de la circulation sanguine grâce à une activité motrice accrue
Marcher et rester debout sur les produits kybun augmente l’activité motrice naturelle, active la musculature et améliore la circulation sanguine. Une meilleure microcirculation favorise l’apport aux muscles, aux articulations et aux fascias, soutient la régénération et peut influencer positivement des symptômes typiques de Parkinson tels que la rigidité musculaire, les pas trottinés ou la fatigue.
Conseils d’utilisation en cas de maladie de Parkinson
Avant de porter les chaussures kybun pour la première fois, il convient de tenir compte de quelques conseils. Une utilisation correcte peut aider, en cas de maladie de Parkinson, à atténuer des symptômes tels que la rigidité musculaire, les pas trottinés, les troubles de l’équilibre ou la fatigue, et à favoriser la mobilité au quotidien.
- ◉ Au début, portez les chaussures kybun uniquement aussi longtemps que votre corps le tolère. Les muscles, les tendons et le système nerveux ont besoin de temps pour s’habituer au support élastique-ressort. Augmentez progressivement la durée de port et faites des pauses en cas de fatigue ou si des symptômes légers de Parkinson apparaissent. Au départ, une légère fatigue musculaire ou des réactions inhabituelles peuvent survenir. Ne vous laissez pas déstabiliser par l’instabilité volontaire : elle est nécessaire pour entraîner l’équilibre et améliorer la sécurité à la marche.
- ◉ Lors de l’attaque du talon, enfoncez activement le talon dans le matériau élastique-ressort et ressentez l’amorti des chaussures kybun. Cela réduit la charge sur les muscles, les articulations, les tendons et les fascias, et assure une locomotion douce et respectueuse des articulations. En outre, l’attaque active du talon augmente l’activité musculaire des membres inférieurs, ce qui conduit à une marche plus optimisée et plus dynamique.
- ◉ Déroulez lentement le pied du talon, en passant par le médio-pied jusqu’à l’avant-pied. Évitez un « claquement » brusque du pied ou des mouvements crispés : un déroulé régulier aide à réduire les troubles de coordination et d’équilibre et répartit la charge de manière homogène.
- ◉ Au début, préférez de petits pas à de grandes foulées. Cela améliore la stabilité et la coordination.
- ◉ Essayez progressivement de dérouler davantage sur l’avant-pied. Cela augmente l’amplitude de mouvement des pieds et favorise la mobilité dans toutes les articulations. Adaptez le déroulé à vos possibilités afin d’éviter les surcharges.
- ◉ Utilisez les produits kybun de manière régulière, tout en restant à l’écoute de votre corps. L’activation continue et douce de la musculature et des fascias soutient à long terme la stabilité, l’équilibre, la circulation sanguine et la mobilité – des facteurs centraux pour atténuer les symptômes de Parkinson et gagner en sécurité au quotidien.
Pour les débutants kybun
En portant des chaussures kybun, la démarche évolue de «protectrice» à «naturelle». Dans 90 % des cas, cela se fait sans problème.
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